Nu
Ce n’est pas les blessures,
qui croissent comme les landes de complot,
sur le sable blanc.
Ce n’est pas les rides,
qui creusent les fissures de l’age,
sur les campagnes de la jeunesse.
Ce n’est pas les plis,
qui deforment le paysage de la figure
sur les os-rochers de silence.
C’est la verité qui hante.
Mon ami, l’ombre
Mon ami, l’ombre
danse déja sur le néant.
Il est un mec très sombre
qui songe d’être un géant,
mais il n’avait q’aucune nombre
quand je suis gisant.
Le Poète
C’est le clair de la lune pré-l’aube
qui me convins
qu’entre les factures, payés et impayés
entre les plats, faits et non faits,
entre les déchets, rassemblés et disperses
entre les billets-doux, envoyes et suspendus,
entre les papiers, classes et gros,
entre les vetements, repandus et accroches
entre les poesies ecrits et non ecrits,
entre les prieres, dits et tacits
entre les amities, vifs et manques
entre les promesses, gardes et casses,
entre les esquisses dans mon ame et la poubelle,
un homme vit
Premier Cantique.
Blanc de mots, en lançant des flocons, ils tourtoyent dans un endroit qui est mort pour tourbillonner vers un signe de la main.
C'est le gaspillage nacré, le bord en fer de l'étang sur lequel les cristaux aveugles grandissent.
Donne moi congé de discours, pour se fondre dans le silence. Pourquoi pile sur les mots dans dans cet excès de motifs durs ?
Deuxième Antiphon
Les tempêtes de tonnerre menacent au-delà de la portée de la ville. Les sans-abri ne peuvent pas revenir. La foudre stigmatise le ciel, un rougeoiement pâle qui brûle et détourne |
une tête tendue et chère
Puis vint la pluie de nuit,
cracher dans l'obscurité
de l'agonie de l'inachèvement
des décennies de dix cents.
La loi interne qui meurt
sous les branches tordues
de croissance s'éternise
comme un fantôme défaillant
avant la sortie de l'aube
et et se détache
avec le vent aphasique.
Dystopie
Le Docteur Elpis roulait sa grande Machine à Temps
pour visiter les condamnés, mais à chaque chance,
les victimes prefèrent rester la fâte à la mi-temps
le futur humaine leur terrifie plus que l’avance.
Le Jardin Anglais, Genève
Au centre de Genève et les malheurs de Calvin
Le piéton découvre un paradis humain
Que lui guarantit des phantoms macarbres.
Dans un bel decor et embelli des arbres,
Il y a plein des fées et des willis d’antan
Qui sont très haut avec l’élixire de Tin-Tin.
Nu
Corps , plein des parasites de la lumière,
corps, miroité des feux calmes,
corps, serpenté comme un arbre
en dialogue avec les vents qui rirent
et dans la nuit, caillouteuse et tondue,
l’homme choisit le paysage vide.
Nuit, foret de naissance, nu sur la neige,
nuit, rochers qui bordaient les ombres,
nuit, tonnerre invisible de sang,
et sur le corps, épaisse de silence,
la femme choisit l’abri sans lieu.
Corps, dont l’horizon s’éloigne les escarpes,
Corps, avec une échelle enfoncée du désir,
Corps, avec une gamme de sons mobiles,
et l’aube choisit l’atelier pour dessiner
leur visages dans la poussière de tristesse.
La Demeure
La maison devient vieille et ses solives
grançent dans les nuits, mystérieuses et aggressives
à cause des spêctres invisibles qui fait danser
dans les combles et les couloirs de l’abris ruiné.
Un vent froid fait entrer dans les embrasures des portes.
Les enfant s sont partis avec les feuilles mortes,
qui jouaient jadis et criaient comme si le temps
les embrassât et la vie fût un entretemps du rêve.
Ses fondaments sont lourdes et la terre la tiendra brève.
Néanmoins, le jardinier-moi gribouille la pente
comme il frotte une blessure permanente.
Cohn-Bandit Haiku
Une vote pour le passé
jamais n’abolit
la realité du temps.
Dessins Indessinés
In memoriam Patrice Cauda
J’ai effacé l’aube sur les pages du regard
l’existence, une étudiante soigneuse,
a tournées pour moi.
J’ai cassé le miroir sur lequel le cours
d’une sourire coulait
dans la joie.
Puis, je possède un jour ouvert
et chaque débris éplorée
se sourit.
1.
De ce tesson de lumière,
je vais inventer une amitié
avec
une divinité au coeur léger
qui a besoin de l’humanité
pour mourir.
2.
De cet éclat, une athlète brille, agile
et heureuse d’être reculée
quand déjà
elle a seule l’isolement mortel
d’être la première. L’énergie
humaine reste.
3.
Cet morceau au lièvres
tremblantes d’une fille qui,
pour santé,
se change en pierre belle
que je n’en fais qu’imaginer
vivante.
4.
Ce coin reflet le mari d’un homme
d’histoire qui attend en fin
que la fidelité
aura fermer le conférence sur l’amour et je suis
le secretaire de son propre rêve
que je traduis ouvert.
5.
Un débris de verre et mércure
porte des yeux qui veulent
être cachés
dans une théâtre de la lumière
óu ceux qui a sondés à sa vérité
soi même
sont aveuglés par sa nudité.
Une phantome que je crée
comme sa vrai converti.
6.
Un fragment me failli couter
avec sa froidure brulante
aux contours
érotiques de son visage.
Elle suit l’amour sur les bords
et crois
le mur de la race du fait à la fidelité,
vadrouillante s sur mes restes,
portant
les sabots qui n’est pas ses propres
de devenir une pinup pour un homme
faimeux.
7.
Ce morceau a tombé seul, laissé par
un universitaire, qui avait tué ses monstres
de fausseté
dans le labyrinth du pensée: son sexe et famille.
a tête arrosée titube dans la sécurité
des tumultes.
8.
J’ai trouvé un éclat
caché dans une lumière
plus douce.
Une indexe de l’amour elle-même, les amants de laquelle
sont perdus a la violence toujours comme le coup
d’un frère jaloux.
9.
Un dernier part penche, vibratoire, contre
les planches et brille du mort dans la naissance.
Elle me dit que la nuit
est un maison du poète fermé sur le mort par Le Mort,
un père qui est en deuil, et Le Jour c’est le poète
qui est le fils assassiné
par le père à cause des poèmes d’amour il écrivait
à une femme, La Vie, fait sa mère du désir du père.
Je suis hanté
comme le miroir répare dans
la réalité d’une spectre, la votre,
Désespoir.
10.
Mais c’est toi qui m’amène de la compagnie
des tenèbres avec un cortège de flammes
et le miroir
cruel dissout dans l’innocence
de la chute d’eau dont on écoute
chaque son.
Elle est decidueuse avec un peau
Elle est decidueuse avec un peau
lisse ou fente avec des contours de l’eau.
Ses cheveux -feuilles sont simples et alternes.
Elles sont figurees des cœurs
avec des bords denteles.
Avecs la langueur d’une dune
D’une fontaine de silence
Qu’un désir transi enlace d’absence
Voilà qu’un nouveau soir glisse
Comment écrire un poème d'amour
Il est préférable de ne pas être dans l'amour.
Il est préférable de ne pas être la langue muette,
sentent un idiot et je vous souhaite ne pas avoir à faire
cela.
Son préférable de ne pas sentir les vêtements sur
lesquelles
sont les plus mauvais choix que vous avez pu prendre.
Il vaut mieux ne pas se demander
ce que les
gens normaux font.
Il est préférable de ne pas
être tiraillé entre
la grande vérité que vous souhaitez partager
et les mensonges avec
lesquelles vous êtes repartis.
Il vaut mieux ne pas penser à ce que vous avez dit
est la chose la plus stupide jamais.
Il vaut mieux ne pas penser à ce que vous faisiez
avait un risque que ne sera pas payante.
Il est préférable de ne pas garder de se retrouver là
la route quand on avait énoncées ailleurs.
Il vaut mieux ne pas penser à ce que vous avez dit
est la chose la plus stupide jamais.
Il vaut mieux ne pas penser à ce que vous faisiez
avait un risque que ne sera pas payante.
C’est mieux de ne pas garder de se retrouver là
route quand on avait énoncées ailleurs.
Il vaut mieux même, elle vous remarqué.
Le village a ete sauve par l’eau
Le village a ete sauve par l’eau
qui devient le feu de la terre.
Elle a brule le testament mortel
des glaciers, des montagnes.
Elle a scelle les bouquetins et le lynx.
D’emblee, avant le premier cri de l’enfant
les torrents se murmurent du feu de la vision.
Avant le premier acte de violence
les avalanches hurlent et tuent.
L’eau est le roi flambee des vallees
qui ecrase et batit les chateaux
du Seigneur Le Vent et La Chatelaine des Neiges.
L’eau est le Pretre – Archeveque de ce paysage qui fait
sa retraite dans la durete des flammes adolescentes
et se preside a l’union des pres noyes par le soleil,
dans la fournaise du sol, qui a souffert
pour la naissance du sang secret
dans les hautes mansions de glace et de soleil.
Les Tableaux.
Les tableaux.
Je suis
dans un monde profond.
Où les lacs,
les forêts équatoriales,
palpitent vivement.
Je suis debout,
noire et nue,
dans la jungle
de l'innocence,
bien que les animaux
dont j'ai apprivoisé,
grouillent
autour de mes membres.
Un soleil
orange et gonflé
mont un escalier
invisible
au ciel en blé.
L'arbre de la vie
pousse grand
aux fruits de l'instinct.
Je prends la Champagne
avec l'artiste qui m'a créé,
une jolie Péruvienne.
Le charme astucieux
de laquelle se moque
mon art primitif.
Nous flottons dehors,
volées,
un tableau
et son voleur,
dans la rue de Scudéry.
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