Duncan McGibbon, Poet

 Apollinaire Calligrammes published, 1918. Guillaume Apollinaire was a French poet, playwright, and art critic born in Italy. Calligrammes, a collection of his concrete poetry (poetry in which typography and layout adds to the overall effect), and more orthodox, though still modernist poems informed by Apollinaire's experiences in the First World War and in which he often used the technique of automatic writing, was published.

Nu

Ce n’est pas les blessures,

qui croissent comme les landes de complot,

sur le sable blanc.

Ce n’est pas les rides,

qui  creusent les fissures de l’age,

sur les campagnes de la jeunesse.

Ce n’est pas les plis,

qui deforment le paysage de la figure

sur les os-rochers de silence.

C’est la verité qui hante.


Mon ami, l’ombre

 

Mon ami, l’ombre

danse déja sur le néant.

Il est un mec très sombre

qui songe d’être un géant,

mais il n’avait q’aucune nombre

quand je suis gisant.

 

Le Poète

C’est le clair de la lune pré-l’aube

qui me convins

qu’entre les factures, payés et impayés

entre les plats, faits et non faits,

entre les déchets, rassemblés et disperses

entre les billets-doux, envoyes et suspendus,

entre les papiers, classes et gros,

entre les vetements, repandus et accroches

entre les poesies ecrits et non ecrits,

entre les prieres, dits et tacits

entre les amities, vifs et manques

entre les promesses, gardes et casses,

entre les esquisses dans mon ame et la poubelle,

un homme vit


                                                

 

Premier Cantique.

 

Blanc de mots, en lançant

des flocons, ils tourtoyent

dans un endroit qui est mort

pour tourbillonner

vers un signe de la main.

 

C'est le gaspillage nacré,

le bord en fer de l'étang

sur lequel les cristaux

aveugles grandissent.

 

Donne moi congé de discours,

pour se fondre dans le silence.

Pourquoi pile sur les mots

dans dans cet excès

de motifs durs ?

 

 

Deuxième Antiphon

 

Les tempêtes de tonnerre

menacent au-delà

de la portée de la ville.

Les sans-abri

ne peuvent pas revenir.

La foudre stigmatise

le ciel, un rougeoiement

pâle qui brûle et détourne

une tête tendue et chère

 

 

 

Puis vint la pluie de nuit,

cracher dans l'obscurité

de l'agonie de l'inachèvement

des décennies de dix cents.

La loi interne qui meurt

sous les branches tordues

de croissance s'éternise

comme un fantôme défaillant

avant la sortie de l'aube

et et se détache

avec le vent aphasique.

 

 

 

Dystopie

 

Le Docteur Elpis roulait sa grande Machine à Temps

pour visiter les condamnés, mais à chaque chance,

les victimes prefèrent  rester la fâte à la mi-temps

le futur humaine leur terrifie plus que l’avance.

 

Le Jardin Anglais, Genève

Au centre de Genève et les malheurs de Calvin

Le piéton découvre un paradis humain

Que lui guarantit des phantoms macarbres.

Dans un bel decor et embelli des arbres,

Il y a plein des fées et des willis d’antan

Qui sont très haut avec l’élixire de Tin-Tin.


Nu

Corps , plein des parasites de la lumière,

corps, miroité des feux calmes,

corps, serpenté comme un arbre

en dialogue avec les vents qui rirent

et dans la nuit, caillouteuse et tondue,

l’homme choisit le paysage vide.

Nuit, foret de naissance, nu sur la neige,

nuit, rochers qui bordaient les ombres,

nuit, tonnerre invisible de sang,

et sur le corps, épaisse de silence,

la femme choisit l’abri sans lieu.

Corps, dont l’horizon s’éloigne les escarpes,

Corps, avec  une échelle enfoncée du désir,

Corps, avec une gamme de sons mobiles,

et l’aube choisit l’atelier pour dessiner

leur visages dans la poussière de tristesse.


La Demeure

La maison devient vieille et ses solives

grançent dans les nuits, mystérieuses et aggressives

à cause des spêctres invisibles qui fait danser

dans les combles et les couloirs de l’abris ruiné.

Un vent froid fait entrer dans les embrasures des portes.

Les enfant s sont partis avec les feuilles mortes,

qui jouaient jadis et criaient comme si le temps

les embrassât et la vie fût un entretemps du rêve.

Ses fondaments sont lourdes et la terre la tiendra brève.

Néanmoins, le jardinier-moi gribouille la pente

comme il frotte une blessure permanente.


Cohn-Bandit Haiku

 

Une vote pour le passé

jamais n’abolit

la realité du temps.

 

Dessins Indessinés

In memoriam Patrice Cauda

 

J’ai effacé l’aube sur les pages du regard

l’existence, une étudiante soigneuse,

a tournées pour moi.

J’ai cassé le miroir sur lequel  le cours

d’une sourire coulait

dans la joie.

Puis, je possède un jour ouvert 

et chaque débris  éplorée

se sourit.

 

1.

De ce tesson de lumière,  

je vais inventer une amitié

avec

une divinité au coeur léger 

qui a besoin de l’humanité

pour mourir.

 

2.

De cet éclat, une athlète brille, agile

et heureuse d’être reculée

quand déjà 

elle a seule l’isolement mortel

d’être la première. L’énergie

humaine  reste.

 

3.

 Cet morceau au lièvres 

tremblantes  d’une fille qui,

pour santé,

se change en pierre belle

que je n’en fais  qu’imaginer

vivante.

 

4.

Ce coin reflet le mari d’un homme

d’histoire qui attend en fin

que la fidelité

aura fermer le conférence sur l’amour et je suis

le secretaire de son propre rêve  

que je traduis ouvert.

 

5.

Un débris de verre et mércure

porte des yeux qui veulent

être cachés   

dans une théâtre de la lumière

óu ceux qui a sondés à sa vérité

soi même

sont aveuglés  par sa nudité.

Une phantome que je crée

comme sa  vrai converti.

 

6.

Un fragment me failli couter 

avec sa  froidure brulante

aux contours

érotiques de son visage. 

Elle suit l’amour sur les bords

et crois

 le mur de la race du fait à la fidelité,

vadrouillante s sur mes restes,

portant

les sabots  qui n’est pas  ses propres 

de devenir une pinup pour un homme

faimeux.

 

7.

Ce morceau a tombé seul, laissé par

un universitaire, qui avait tué ses monstres

de fausseté

dans le labyrinth du pensée: son sexe et famille.

a tête arrosée titube dans la sécurité

des tumultes.

 

8.

J’ai trouvé un éclat

caché dans une lumière

plus douce.

Une indexe de l’amour elle-même, les amants de laquelle

sont perdus a la violence toujours comme le coup

d’un frère jaloux.

 

9.

Un dernier part penche, vibratoire, contre

les planches et brille du mort dans la naissance.

Elle me dit que la nuit 

est un maison du poète fermé sur le mort par Le Mort,

un père qui est en deuil, et  Le Jour c’est le poète

qui  est le fils assassiné

par le père à cause des poèmes d’amour il écrivait

à une femme, La Vie, fait sa mère du désir du père.

Je suis hanté  

comme le miroir répare dans

la réalité d’une spectre, la votre,

Désespoir.

 

10.

Mais c’est toi qui m’amène de la compagnie

des tenèbres avec  un cortège de flammes

et le miroir

cruel dissout dans l’innocence

de la chute d’eau dont on écoute

chaque son.

 

 

Elle  est decidueuse avec un peau

Elle  est decidueuse avec un peau
lisse ou fente avec des contours de l’eau.
Ses cheveux -feuilles sont simples et alternes.
Elles sont figurees des cœurs
avec des bords denteles.
Avecs  la langueur d’une dune
D’une fontaine de silence
Qu’un désir transi enlace d’absence

Voilà qu’un nouveau soir glisse

 

Comment écrire un poème d'amour

Il est préférable de ne pas être dans l'amour.
Il est préférable de ne pas être la langue muette,
sentent un idiot et je vous souhaite ne pas avoir à faire cela.
Son préférable de ne pas sentir les vêtements sur lesquelles

que vous avez décidé,

sont les plus mauvais choix que vous avez pu prendre.
Il vaut mieux ne pas se demander
ce que les gens normaux font.
Il est préférable de ne pas être tiraillé entre
la grande vérité que vous souhaitez partager
et les mensonges avec  lesquelles vous êtes repartis.
Il vaut mieux ne pas penser à ce que vous avez dit
est la chose la plus stupide jamais.
Il vaut mieux ne pas penser à ce que vous faisiez
avait un risque que ne sera pas payante.
Il est préférable de ne pas garder de se retrouver là
la route quand on avait énoncées ailleurs.

Il vaut mieux ne pas penser à ce que vous avez dit
est la chose la plus stupide jamais.
Il vaut mieux ne pas penser à ce que vous faisiez
avait un risque que ne sera pas payante.
C’est mieux de ne pas garder de se retrouver là
route quand on avait énoncées ailleurs.

Il vaut mieux même, elle vous remarqué.


Le village a ete sauve par l’eau

Le village a ete sauve par l’eau

qui devient le feu de la terre.

Elle a brule le testament mortel

des glaciers, des montagnes.

Elle a scelle les bouquetins et le lynx.

D’emblee, avant le premier cri de l’enfant

les torrents se murmurent du feu de la vision.

Avant le premier acte de violence 

les avalanches hurlent et tuent.

L’eau est le roi flambee des vallees

qui ecrase et batit les chateaux

du Seigneur Le Vent et La Chatelaine des Neiges.

L’eau est le Pretre – Archeveque de ce paysage qui fait

sa retraite dans la durete des flammes adolescentes

et se preside a l’union des pres noyes par le soleil,

dans la  fournaise du sol, qui a souffert

pour la naissance du sang secret

dans les hautes mansions de glace et de soleil.

Les Tableaux.

 

Les tableaux. 

Je suis 

dans un monde profond. 

Où les lacs, 

les forêts équatoriales,

 palpitent vivement. 

Je suis debout, 

noire et nue, 

dans la jungle 

de l'innocence, 

bien que les animaux 

dont j'ai apprivoisé, 

grouillent 

autour de mes membres. 

Un soleil 

orange et gonflé 

mont un escalier 

invisible 

au ciel en blé. 

L'arbre de la vie 

pousse grand 

aux fruits de l'instinct. 

Je prends la Champagne 

avec l'artiste qui m'a créé, 

une jolie Péruvienne.

Le charme astucieux 

de laquelle se moque 

mon art primitif. 

Nous flottons dehors, 

volées, 

un tableau

 et son voleur, 

dans la rue de Scudéry. 

e

 

 

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